Né en hautes montagnes de Kabylie, j’ai été imprégné par leurs beautés naturelles qui ont, depuis ma naissance, contribué à développer le don de la force qui est en moi ; celle de soulager et guérir les souffrances des autres.

Je suis le cinquième enfant de la famille, et d’après les chercheurs du domaine surnaturel et paranormal, le cinquième enfant a souvent un don, ce qui est mon cas. Mon prénom Salem, signifie PAIX.

J’ai découvert mon don très tôt, vers l’âge de 11 ans.

En jouant avec des enfants de mon âge, je savais si pendant les disputes ils en viendraient aux mains ou non. La première personne que j’ai soigné est ma mère, sage femme et masseuse, qui s’était fortement foulé le bras en tombant d’un arbre et souffrait d’une douleur atroce.

Guidé par ma mère qui m’encouragea à tirer son bras mais en appuyant aussi sur son épaule et en un instant, la douleur cessa.

Cette première expérience se confirma par la suite, je me suis rendu compte que je possédais un don de guérisseur magnétiseur, doublé de la capacité de télépathie à distance, guidé par une force mystérieuse qui est en moi que l’on peut appeler guide spirituel.

D’ailleurs je demande souvent son aide et ses conseils pour chaque chose de la vie.

Voici quelques un des évènements qui se sont produits à la suite de la découverte de mon don, pendant mon enfance :

• quand j’ai envie de voir une personne, celle ci vient à ma rencontre, sans que je lui donne un rendez vous.
• j’avais des rêves prémonitoires qui m’indiquaient ce qui se passerait le lendemain (bonne ou mauvaise journée).
• quand je conseillais et orientais une personne vers quelque chose, dans tous les domaines, ce qui se produisait était positif – un jour j’ai mis un parfum et un copain me dit qu’il trouve qu’il sent bon. Comme il perdait ses cheveux je lui dit d’en mettre sur sa tête pour que ses cheveux poussent et ses cheveux ont repoussés!
• un jour aussi, un copain et moi allions nous baigner dans une rivière, comme d’habitude. Cela s’est passé pendant la guerre d’Algérie. Souvent, mon copain et moi faisions la course qui arrive le premier pour se baigner. Ce jour là, je suis arrivé le premier mais j’ai pas voulu me déshabiller car j’ai senti qu’il allait se passer quelque chose. J’étais pris de peur et de panique. Mon copain s’est jeté à l’eau et moi j’ai pas voulu et en un instant, des coups de rafale, de mitraillette et des grenades au dessus de nos têtes, sauve qui peut ! C’était un accrochage militaire entre les deux camps. Nous avons couru très vite pour rentrer au village et l’avons échappé belle.

J’ai beaucoup d’autres anecdotes comme celles-ci à raconter.